Les mafieuses

Pas vraiment passionnant, on suit une famille qui fait partie de la mafia.

L’histoire est lisse et on devine facilement la fin

Il se lit rapidement, un peu trop lisse a mon gout, je m'attendais a tout autre chose.

Un roman court agréable à lire avec une intrigue intéressante. J'ai apprécié que l'histoire se déroule dans Grenoble et ses environs.

Sympathique histoire, mais sans plus.

Je m'attendais à mieux niveau scénario (on devine finalement assez vite qui est le tueur à gages), l'écriture est assez quelconque et le quatrième de couverture promet un humour duquel je suis passée à côté.

Qui plus est, si l'idée de départ était tentante, elle aurait pu être davantage développée (ce roman fait moins de 150 pages).

Ou alors, je suis complètement passée à côté. Dommage.

Pascale Dietrich nous plonge avec brio dans les méandres obscurs et hyper macho de la mafia. Mais ici ce sont les femmes qui sont misent à l'honneur. Le vocabulaire reste tout de même cru et l'intrigue tout aussi brutale. Il n'y a aucune morale. Alessia, l'une des 2 filles, à suivit les traces de son père et détient un réseau de trafic via ses pharmacie. Elle incarne le féminisme au sein de son monde d'homme (car oui c'est son mari qui est homme au foyer). Quand à Dina, celle-ci essaie de faire preuve de bonne conscience en travaillant dans l'humanitaire (univers qui se révèle tout aussi pourri et véreux que celui de la mafia).

L'écriture fluide nous porte au milieu de cette affaire où le temps est compté et où les pages défilent sans s'arrêter. Les personnages n'ont rien de superficiel. J'ai surtout adore le côté théâtral et complètement fou d'Alessia qui colle parfaitement à l'ambiance.

J’ai été attiré par un titre intrigant, une couverture plutôt pop et une 4ème de couverture alléchante. Malgré une écriture agréable et pleine d’humour, j’ai trouvé le sujet trop légèrement survolé alors que, tout en gardant le style, l’auteure aurait pu être plus ambitieuse. Je reste donc un peu sur ma faim.

La mort du vieux parrain Acampora est proche, il va laisser une veuve et deux filles aux tempéraments opposés. Dina s’implique dans l’humanitaire alors qu’Alessia investit plutôt dans l’économie parallèle. S’il lègue à ses filles de florissantes affaires, sa femme, par contre hérite d’un ultime cadeau de son mari : un contrat sur sa tête. Il faut donc sauver maman !

Dans ce roman, léger et amusant, l’auteure rend compte d’un état dans l’état, très machiste, la mafia. Comment des femmes pourraient-elles se faire une réputation et inspirer le respect dans un milieu où la violence est le mode de règlement normal des problèmes. Elle montre des femmes de mafieux aux pouvoirs d’influence très redoutables mais que se passe-t-il lorsqu’une femme est en haut de la pyramide ?

Une petite pépite. C'est à la fois sérieux et drôle. Un humour glaçant et rafraîchissant. Une intrigue qui tient la route et une envie de ne pas lâcher ce livre jusqu'à la fin. Il y a un moment que je n'ai pas trouvé un livre à mettre en liste de diamant !!!

Le livre est court mais j'ai quand même réussit à le trouver long. L'histoire manque vraiment de rebondissement et on voit la fin à partir de quelque chapitre. J'ai aussi été déçue par les personnages et je ne l'ai pas trouvé drôle non plus.

Court, drôle, percutant: un petit côté malavita qui mériterait un film.

Un roman policier qui bouscule les codes

L’histoire commence avec un triste nouvelle : Léone Acampora est décédée. Pour les membres de cette famille pas si ordinaire, l’annonce de ce décès correspond à une situation totalement loufoque.

Une histoire courte et marrante.